Centre de la mémoire
Centre de la mémoire

Expositions itinérantes

Les Jeunesses hitlériennes  - De Nuremberg à Oradour

De la propagande hitlérienne à ses applications les plus abjectes

Entre la logique froide et manipulatrice de l’endoctrinement du régime nazi et les ravages perpétrés par cette "jeunesse sans faiblesse", le centre de la mémoire propose un parcours documenté, présentant en parallèle deux approches : l’une, émanant du centre de documentation de Nuremberg, sur les Jeunesses hitlériennes, mise en perspective de l’exposition relative à la déportation créée par la Fondation pour la mémoire de la déportation.
Ce parcours est complété par des images d'actualité de 1941 à 1944, et du film Le Pont (1953) qui retrace l'histoire de sept écoliers allemands confrontés à la réalité cruelle de la guerre.

Les jeunesses Hitlériennes
Oradour-sur-Glane, Souviens-toi...

Oradour-sur-Glane, Souviens-toi...

38 photographies encadrées pour évoquer le drame d'Oradour-sur-Glane, village ordinaire du Limousin frappé le 10 juin 1944 par la division Waffen SS Das Reich.
Aux images de l’ancien Oradour succède l’horreur du 10 juin 1944. On y découvrira des vues des ruines qui circulent dès l’été 1944, mais aussi des clichés réalisés par Willy Ronis. Le 12 juin 1949, l’oeil talentueux du photographe saisit, en plus des hommages aux victimes et des conditions de vie des habitants, les regards et attitudes significatives d’un deuil qui ne fait que commencer. L’exposition se poursuit avec la reconstruction, le nouvel Oradour et le centre de la mémoire. Tourné vers la vie, Oradour n'oublie pas mais s'est reconstruit : une leçon du passé à appliquer à l'avenir.

Oradour-sur-Glane, village martyr

Cette exposition, qui relate le massacre d’Oradour-sur-Glane et présente le village martyr, est destinée aux établissements scolaires, bibliothèques, médiathèques, musées, et autres structures culturelles.  

Au travers de 52 photographies ressurgit une histoire, celle d'Oradour avant, pendant et après le massacre. Les photographies sont présentées encadrées d'un bois naturel, rappelant la simplicité du bourg rural qu'était Oradour, et la sobriété nécessaire au sujet.

Articulée selon sept thématiques, l'exposition est complétée par des textes.

Village martyr